Chapitre 23
Un simple coup de snap

 

Nous sommes de retour dans ce fabuleux et merveilleux roman où nos amis sont dans la chambre de l'hôtel Excelsior en Égypte. Le docteur toujours sous hypnose pendant que ses compagnons conversent sur des sujets différents. Plusieurs heures passèrent, mais retrouvons-les en pleine conversation...

Pilaf Maboul: Nous avons cherché ce trésor pendant des années et maintenant, nous y sommes presque.

Indiana Jaune: Si le docteur peut nous révéler le code, nous allons peut-être trouver ce trésor.

Watson: M5 3S1O5 45 3S9TU1M 1VTT9

Sherlock: Je ne savais pas que vous étiez associé dans cette affaire. Vous êtes un peu comme nous finalement.

Indiana Jaune: Si on veut. À la différence que nous, nous cherchons pour le musée tandis que vous deux, vous êtes rémunéré.

Sherlock: Pas tant que ça, pas tant que ça. Le peu qu'ils nous donnent, on réussi à peine à couvrir les frais. Ça coûte cher vous savez de se faire barouetter d'un bord pi de l'autre* en avion, en train et autres transports en commun.

Watson: M5 3S1O5 45 3S9TU1M 1VTT9

Pilaf Maboul: Moi, pour éviter les frais de transport, j'utilise le dédoublement physique ou communément appelé la bilocation.

Indiana Jaune: Je ne vous connaissais pas ce talent? Et comment fait-on pour en arriver là?

Pilaf Maboul: Cela demande beaucoup de concentration je dois dire.

Sherlock: Moi, j'ai une maison dans le quartier de Worcestershire, mais avec Watson, nous sommes bilocataire d'un petit appart sur le Piccadilly Circus road, un genre de garçonnière.

Watson: M5 3S1O5 45 3S9TU1M 1VTT9

Indiana Jaune: En fait, la bilocation veut dire que vous pouvez vous matérialiser à deux endroits au même moment. Pratique quand on manque de temps.

Sherlock: Ah! Faudrait pas donner ce truc au docteur car un Watson c'est déjà suffisant à mon avis. Mais si je comprends bien, vous pouvez vous dédoubler n'importe où?

Pilaf Maboul: Oui!

Sherlock: Et si je vous demandait de vous dédoubler dans les grottes sous le Sphinx, est-ce possible? Nous n'aurions pas à retourner là-bas.

Pilaf Maboul: Malheureusement, faut que ce soit au même niveau comme par exemple, ici, nous sommes au deuxième étage de cet hôtel alors je peux me dédoubler dans un autre immeuble mais au deuxième étage seulement.

Sherlock: Pas si pratique que ça finalement.

Indiana Jaune: Disons qu'il faut bien choisir son plancher.

Watson: M5 3S1O5 45 3S9TU1M 1VTT9

Sherlock: Oui et si nous allions sur le premier étage de l'hôpital que nous avons visité tantôt, c'est à dire dans le deuxième sous-bassement, nous serions au niveau de la grotte non?

Pilaf Maboul: Peut-être mais si nous ne sommes pas exactement au même niveau, je peux me retrouver les jambes ou la tête coincée dans la terre, et dans ce cas, je perdrais mon double indéfiniment.

Sherlock: Finalement, la seule solution c'est d'y retourner. Si Watson peut finir par nous donner le code.

Indiana Jaune: Ma patience est mit à rude épreuve je dois dire, depuis le temps que je cherche ce crâne.

Sherlock: Je me rend compte qu'après tous ces voyages que nous avons fait pour trouver le tombeau, c'est aussi rare que de trouver de l'étron papal.

Pilaf Maboul: Moi je l'ai trouvé!

Sherlock: Ah oui? Vous avez retrouvé le tombeau?

Pilaf Maboul: Mais non, l'étron papal.

Sherlock: Ah!

Indiana Jaune: Vous avez de l'étron papal?

Pilaf Maboul: Oui et bien conservé dans du vinaigre.

Indiana Jaune: Mais comment avez-vous fait bon Dieu?

Watson: M5 3S1O5 45 3S9TU1M 1VTT9

Pilaf Maboul: J'ai un pote qui travaille au Vatican et qui est préposé au nettoyage de la sainte cuvette. Il m'a recueilli quelques beaux spécimens d'étron bien ferme de sa sainteté la père. Je suis assez fier de cela, pas beaucoup de gens peuvent se vanter de posséder de l'excrément papal.

Indiana Jaune: It's the case of the tell.

Pilaf Maboul: It's the case of the tell?!?

Indiana Jaune: c'est le cas de le dire.

Sherlock: Personnellement, je ne vois pas l'utilité de posséder de l'étron papal, à moins bien sûr d'être un vrai collectionneur de chose rare. D'ailleurs, qui vous dit que cet étron est le vrai étron du pape. Votre pote a pu le fabriquer lui-même et vous laissez croire que c'était celui du pape. Combien il vous a vendu ça?

Pilaf Maboul: Cinquante mille dollars us.

Sherlock: Dans ce cas, c'est sûrement de vrais étrons papals.

Pilaf Maboul: C'est ce que je me suis dis aussi, à ce prix, ce n'est pas du toc, sinon, s'eut été beaucoup moins cher.

Watson: M5 3S1O5 45 3S9TU1M 1VTT9

Indiana Jaune: Je me rend compte que depuis dix bonnes minutes, nous parlons que de merde, merde!

Sherlock: Ah parfois les sujets les plus emmerdants sont souvent les plus intéressants.

Indiana Jaune: Surtout quand cela sort de la bouche d'un emmerdeur.

Pilaf Maboul: Voulez-vous dire que je suis un emmerdeur?

Indiana Jaune: Non, non, pas vous, je parlais en général. Les emmerdeurs sont souvent des fraudeurs, des voleurs, des profiteurs. On a souvent vu dans des réseaux ésotériques des emmerdeurs de premières classes. Comme par exemple, celui qui vous raconte que vous serez enlevé par les élohims et qui prétend être le frère de Jésus, celui-là est un emmerdeur de première.

Sherlock: Je me souviens de lui avec son ambassade extra-terrestre, mais je peux vous dire qu'il y en a beaucoup d'autres aussi qui pullulent sur cette planète.

Indiana Jaune: En fait, tous ceux qui vous promettent le paradis avant la fin de vos jours, sont des emmerdeurs de première.

Pilaf Maboul: Bon, si nous passions à un autre sujet?

Sherlock: Et Watson dans tout ça, qu'est-ce qu'il peut nous dire lui...

Watson: M5 3S1O5 45 3S9TU1M 1VTT9

Indiana Jaune: Qu'est-ce qu'il dit?

Sherlock: Je ne sais pas, il baragouine encore. Que dites vous Watson?

Watson: M5 3S1O5 45 3S9TU1M 1VTT9

Pilaf Maboul: C'est le code non?

Indiana Jaune: Vous avez raison, c'est le code.

Sherlock: Et ça dit quoi?

Indiana Jaune: Un instant, je traduis...Le crâne de cristal aussi! Donc, le crâne est avec le tombeau. Bonne nouvelle!

Sherlock: Finalement, il était temps. Le soleil se lève et je suis exténué.

Indiana Jaune: Moi aussi. Pilaf! Vous pouvez réveiller le docteur, nous avons réussi.

Pilaf Maboul: Parfait, mais avant tout, je voudrais vous prévenir qu'il se peut fort bien que le docteur en s'éveillant ait changé un peu de personnalité, c'est à dire qu'il peut de temps à autre se prendre pour un héros de film populaire, que ce soit ancien ou nouveau, un film de cape et d'épée par exemple ou un film de Woody Allen, tout dépendra de ce que lui a vu comme film depuis son enfance.

Sherlock: Comment est-ce possible?

Pilaf Maboul: Le fait qu'il ait été hypnotisé pendant plusieurs heures peut avoir affecté son cerveau.

Sherlock: Remarquez que ce ne sera pas un gros changement pour moi que son cerveau soit affecté, mais enfin, ça va durer longtemps cet effet négatif?

Pilaf Maboul: Tout dépend du sujet, dans ce cas-ci j'ai bien peur que ce soit plus long que prévu, mais ne vous inquiètez pas car la meilleure façon de la ramener à lui, est de claquer des doigts une fois.

Sherlock: Bon, allez-y, réveillez-le, de toute façon nous n'avons pas le choix, nous ne pouvons pas le laisser comme ça, avec son air ramoli.

Pilaf Maboul: Dac!

Le magicien se plaça directement devant Watson et le regarda dans les yeux.

Pilaf Maboul: Doc! Regardez moi dans les yeux. Détendez-vous, vous allez sortir lentement de votre sommeil et quand je claquerai des doigts, vous vous éveillerez.

Snap!

(Éditeur: Snap c'est le terme anglais pour le claquement des doigts)
(Auteur: Je sais, mais j'ai pas trouvé pour le français)
(Éditeur: Pas grave en autant qu'on comprenne bien ce que vous voulez dire)

Watson se réveilla enfin, un peu abasourdie par ce voyage intérieur, il se remit lentement de ses émotions.

Sherlock: Vous avez l'air completement raplapla mon ami.

Watson: Je sais, je me sens tout drôle.

Sherlock: Maintenant que nous avons eu ce que nous voulions, nous allons dormir un peu. Au revoir messieurs et Indi, nous vous contacterons afin de préparer notre descente dans le trou.

Indiana Jaune: Parfait! Au revoir et bon repos.

Pilaf Maboul: Au revoir!

Pilaf et Indi sortirent en coup de vent de la chambre laissant nos deux confrères seuls. Watson sembla animé par cet éveil.

Watson: Je n'ai pas envie de dormir moi, je me sens frais comme une rose du printemps qui n'est pas encore éclot.

(Éditeur: Plagieur va!)
(Auteur: Je sais, raccourci)
(Éditeur: Je m'en doutais bien)

Sherlock: Frais comme une rose ou tout drôle?

Watson: Vous savez bien que je me remet vite de mes émotions.

Sherlock: Je sais que vous pouvez changer en un claquement de doigt comme ceci...

Snap!

Watson: Tous à l'abordage! Pas de prisonniers, foutez-les moi par dessus bord et...

Sherlock: Oups!

Snap!

Watson: Bon, pendant que vous allez dormir, je vais aller prendre le petit déjeuner, j'ai faim. Bon dodo!

Sherlock: Merci!

*

À l'extérieur de l'hôtel, Indi et Pilaf étaient toujours en conversation. Ils décidèrent d'aller prendre un verre afin d'établir un plan d'action avant d'aller au lit.

Pilaf Maboul: Bien joué l'idée de chercher les vestiges pour le musée, ils n'auront aucun soupçon.

Indiana Jaune: Merci! Je me disais qu'un jour ou l'autre, ils m'auraient posé la question.

Pilaf Maboul: D'autant plus que j'ai allégé votre travail.

Indiana Jaune: C'est à dire...?

Pilaf Maboul: J'ai hypnotisé le docteur de sorte qu'aussitôt que vous claquerez des doigts, il perdra toute logique.

Indiana Jaune: Ah, je croyais que c'était vrai votre histoire d'hypno-possédé après toute une nuit d'hypnose.

Pilaf Maboul: Mais non, c'était intentionnel.

Indiana Jaune: Alors là, chapeau, j'ai rien vu, bien joué aussi.

Pilaf Maboul: Merci! Oh, j'y pense tout à coup, j'ai un petit gadget pour vous. Tenez!

L'aventurier pris l'objet dans ses mains, ce n'était pas plus gros qu'un téléphone cellulaire. Intrigué, il poussa un petit bouton sur le côté et soudain, une petite porte s'ouvrit laissant découvrir un carré illuminé de couleur bizarre accompagné de bips bips musicaux.

Indiana Jaune: Qu'est-ce que c'est?

Pilaf Maboul: Un téléphone cellulaire.

Indiana Jaune: Et ça sert à quoi?

Pilaf Maboul:À communiquer! Où que vous soyez, nous pourrons nous rejoindre en tout temps.

Indiana Jaune: Belle technologie! C'est japonais?

Pilaf Maboul: Non, c'est coréen!

Indiana Jaune: Est-ce que ça fonctionne vraiment? J'ai un doute avec la technologie coréenne.

Pilaf Maboul: Faites un essaie, vous verrez bien.

Indiana ouvrit la petite porte et approcha l'appareil de sa bouche.

Indiana Jaune: Scotty, beam me up please!

Pilaf Maboul: Vous n'êtes pas dans Star Trek voyons, pour tester l'appareil, vous devez signaler un numéro sur le clavier. Le mien c'est étoile-un-deux-trois puis appuyez sur enter.

Indiana Jaune: Ah! étoile un-deux-trois et enter...

Bip bip bip bip!

Pilaf Maboul: Voilà!

Indiana Jaune: Merveilleux!

Pilaf Maboul: Maintenant, je vais au dodo alors on se reparle plus tard.

Indiana Jaune: Parfait, à plus tard.

*

Quelques heures plus tard, Watson dégustait un expresso dans un petit café-terrasse au pied de l'obélisque de Luxor quand soudain deux jeunes femmes s'approchèrent de sa table. Deux grandes blondes aux vêtements bien ajustés sur le corps laissant voir la fine silhouette de chacune d'elle. Ce sont des mannequins se dit Watson, avec une allure aussi frappante, y a pas de doute. Sauf le visage, on aurait dit du plâtre de paris séché en plein soleil floridien. L'une d'entre elle se décraqua le jolie minoi et prononca quelques mots...

Jolie minoi: Bonjour monsieur Watson, je m'appele Brazilia et voici ma soeur Hazel.

Watson: Enchanté de faire votre connaissance mais que me vaut cette honneur?

Brazilia: Nous avons étudié au collège Eton à Londre et nous avons assisté à votre cours sur la théorie du grand Chelem.

Watson: Bizarre cette popularité soudaine, pourtant, je n'ai fait que remplacer pour une heure ou deux un ami qui était en voyage de noce. Rappelez-moi votre nom de famille?

Brazilia: Naught!

Watson: Brazila Naught et Hazel Naught...hum, cela me dit quelque chose en effet. Ces noms évoquent en moi de vilaines pensées qui éveillent mes noix, enfin passons, ceci n'est digne d'aucun intérêt.

Brazilia: Je sais, on nous appele souvent les naughty girls.

Watson: Je comprend, mais que puis-je faire pour vous? Je vois des milliers de choses, mais enfin, ce n'est sûrement pas ce que vous aviez prévu.

Brazilia: Nous avons une question.

Watson: Je vous écoute.

Brazilia: Est-ce que la théorie du grand Chelem tient toujours?

Watson: Mon Dieu! C'était il y a si longtemps. Et Dieu sait que j'en ai pondu des théories dans ma vie. Le grand Chelem, le grand Chelem, rafraichissez-moi la mémoire s'il vous plait.

Brazilia: Cette théorie faisait mention d'amour tribal que l'on voit dans les pays amazonniens.

Watson: Oui, oui, maintenant ça me revient. Organisé par le P.I.P.E. dans les années soixante lors de l'avènement du Flower Power avec les pippies, sorte de hippies, mais sans vêtement. Le P.I.P.E., c'est à dire Programme Internationnel du Pénis en Érection avait établit que chacun devait avoir la responsabilité de sa queue lors de rencontre tribale avec des amazoniennes qui fut remplacé plus tard par les femmes hippies à l'allure granola. Sujet intéressant mais aujourd'hui, cela ne tient plus la route puisque la PIPE est dépassé par les événements.

Brazilia: Conclusion?

Watson: Faites l'amour en team de quatre, deux d'un bord et deux de l'autre. Je peux vous arrangez cela si vous voulez, je connais un pote qui en aurait bien besoin ces temps-ci.

Brazilia: Non merci, nous sommes vraiment pressé par le temps. À un de ces jours monsieur Watson.

Watson: C'est loupé on dirait. Au revoir mesdemoiselles.

Après ce court intermède, le docteur retourna à l'hôtel, déçu de n'avoir pu ammener ces déesses à l'idée de faire l'amour à quatre avec son compagnon de toujours. Je suis un obsédé se dit-il, un obsédé, pourquoi Dieu m'a fait ainsi? Je ne pense qu'à ça!

Rendu à l'hôtel, Watson s'installa dans le fauteuil en rotin sur le balcon de l'appartement. Sherlock dormait encore à cette heure. Comtemplatif devant le soleil qui commençait à descendre derrière les dunes qui entouraient la grande pyramide de Khéops. Il songea à sa douce compagne qui l'attendait à la maison dans la ville de Plymouth, en banlieu de Londre. Il s'ennuyait de son amour malgré son petite côté aventurier, coureur de jupon. Que voulez-vous, il aime les femmes avait lancé Sherlock un soir de première au théatre des Pouliches. Sur ces pensées réconfortantes, il fût éveillé par des bruits à l'intérieur de la chambre. C'était sans doute Sherlock qui s'était levé. Il ouvrit le rideau et soudain, on lui colla le bout d'un revolver en plein sur le nez. Entrez par ici espèce de lopette, lui lança l'intru...

Watson: Que me voulez-vous?

L'intru: Vous vous souvenez de moi?

Watson: Ah! Kantalev Tupousstapine bien sûr! Notre ennemi de toujours. Travaillez-vous toujours pour les services secret russe?

Kantalev: Disons que je suis à son emploi, mais avec quelques petits à côté ici et là.

Watson: Cela ne me surprend guère, vous avez toujours cette gueule de lèche cul de vache folle.

Kantalev: Et vous la langue trop pendue.

Watson: Fini les blagues, que me voulez-vous au juste?

Kantalev: Mon supérieur veut vous voir immédiatement.

Watson: De qui s'agit-il? Il y a tellement de gens qui vous sont supérieurs.

Kantalev: Vos insultes ne m'atteignent point. Je pourrais vous faire disparaître dans un claquement de doigt comme ceci...

Snap!

Sur ce, Watson se tourna du côté du pot de fleur et...

Watson: Si ce manant était de sang noble, je le défierais dans un combat mortel, mais je ne veux pas souiller mon épée du sang de ce misérable plébéien.

Kantalev: Venez avec moi limace!

Watson: Il n'en est pas question espèce de pleutre de rase campagne.

Kantalev: Venez avec moi je vous dis.

Watson: Lachez-moi ou je vous découpe en petit morceaux comme je l'ai fait avec le Conte du Plidela Fessarière.

Il se lança sur lui comme un bouc sur sa chèvre en mal d'amour le mordillant sur tous les membres qui dépassaient. Les deux hommes étaient en plein combat, et soudain, Kantalev perdit pied et glissa sur la balustrade puis tomba en bas du balcon.

Watson: J'ai vaincu ce vassal à la mord moi l'échine brillamment comme le seigneur que je suis et comme ça...

Snap!

Watson: Euh... qu'est-ce qui se passe?

Sur l'entrefait, le représentant du syndicat des lutteurs de la WWF se présenta à son tour sur le balcon.

Watson: Mais... dites moi donc?!?

L'intru part II: Bonjour monsieur Watson, je suis le Géant Félé et représentant du syndicat des lutteurs de la WWF.

Watson: Ne me dites pas que vous avez assisté à mon cours vous aussi?

Géant Félé: Non, je suis ici pour vous faire une proposition. Que diriez-vous d'un contrat à plus ou moyen terme en tant que lutteur? Moi et mes potes Little Beaver et Sky Lo Lo nous étions sur l'autre balcon et nous avons assisté à votre combat et nous serions heureux de vous recevoir dans l'arène des plus grands lutteurs au monde.

Watson: La lutte? Non, pas vraiment. Vous connaissez la devise "Donnons leur du pain et des oeufs..."?

Géant Félé: Pas vraiment! Du pain et des jeux oui.

Watson: Oui c'est cela. Ça tient du fait que pour endormir le peuple ou carrément l'aveugler, on leur donne du pain et des jeux et pendant ce temps, les autorités nous font ce que nous faisons le soir à nos épouses, sauf qu'elles sont consantantes, elles.

Géant Félé: Ah, savais pas.

Watson: D'ailleurs j'ai écrit une chanson là dessus que j'ai gracieusement remi à Bruce Springsteen.

Géant Félé: Ah mon Dieu, c'est mon idole. C'est quoi le titre?

Watson: Borgne in the USA.

Géant Félé: Je connais Born in the USA, mais borgne?!?

Watson: Ouais je sais, il a changé le premier mot du titre le sacripant, il doit faire parti de la bande lui aussi ou bien il a été acheté, trop besoin de cash. C'est normal parce qu'avec une gueule comme la sienne, il doit payer pour des services, c'est pas comme par exemple Merde Gibson ou bien Robert Vieilford. Ces deux derniers sont comme des Dieux grecs malgré que ces dernières années, ils auraient besoin d'un bon coup de plastrage si vous voulez mon avis de chirurgien.

Voilà, c'est tout pour le chapitre 23. Dans le prochain, nous aborderons le crâne de cristal, promis!

*Se faire barouetter d'un bord pi de l'autre: se faire amener à droite et à gauche, se faire brasser, bardasser.

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